Comparatif

De Le modèle M3M
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Dans cet article, quatre approches sont comparées, pour offrir à l'impatient un positionnement rapide de Modèle:XMOD. Bien entendu, les options du modèle M3M ne peuvent être comprises que par rapport à un cahier de charge, et par rapport à une analyse.

La première est celle de la sociételle.

La seconde est celle que les gouvernants en place dans la sociételle définissent pour répondre à la crise de 2008/2009. [ A l'inverse de l'ensemble de ce livre, le présent article traite la situation circonstanciée d'un moment donné. Le modèle Modèle:XMOD vise un horizon beaucoup plus lointain. ]

La troisième est celle que de nombreux idéalistes veulent proposer autour de principes de solidarité.

La quatrième est l'approche Modèle:XMOD


Sociételle "G20" et pouvoirs en place Métamorphistes Modèle Modèle:XMOD
La société est ce qu'elle est, en crise. Il faut changer la société.
La planète est en danger. Une crise de ressources est prévisible. Il faut sauver la planète.
La paix est en enjeu majeur. La paix est prioritaire.
La démocratie est le modèle dominant. La démocratie est une priorité. La démocratie doit être adaptée. La démocratie est profondément réformée. Les cycles sont remplacés par des processus continus. Les champs de compétences sont introduits. La notion de parti est remplacée.
Le pouvoir manque de transparence. La complexité des structures de pouvoir est excessive. La centralisation des pouvoirs est limitée parla multiplication de ceux-ci et le flou de leurs frontières
De nouvelles couches de pouvoir sont rajoutées. Les pouvoirs sont réorganisés. Comment ? Les pouvoirs sont
Les couches de règlements sont importantes et dépassent le citoyen. La société est améliorée par l'introduction de nouvelles couches réglementaires. Le monde esr
Le citoyen humain est libre, mais sa liberté s'exprime laborieusement au sien de répressions et d'incitants complexes.

L'avenir passe par une prise de conscience du citoyen humain, qui est intrinsèquement capable d'améliorer la société par ses vertus.

Le citoyen humain est une combinaison de vertus et de faiblesses. Ses qualités ne peuvent suffire à améliorer le monde. Ce sont les structures qui l'entourent qui doivent être modifiées.
Le travail représente diverses composantes, les plus présentes étant (1)  une condition de l'épanouissement des individus et (2) un droit. Le travail doit pouvoir reprendre et être accessible à un maximum de citoyens. Le travail représente un effort pour obtenir un résultat. Il faut tendre à maximiser la qualité du résultat (qualité moyenne de la vie. Il est préférable que les citoyens travaillent peu, et dans la mesure du possible que peu de citoyens travaillent.
L'homme est un mélange de diverses vertus et défauts,
Les pouvoirs politiques sont polarisés selon une dialectique libérale / collectiviste. La réponse à la crise implique des recettes de forme collectiviste, mais au bénéfice de l'économie libérale. La vision défendue est prioritairement collectiviste et solidaire. La polarité libérale / collectiviste est rendue partiellement désuète par les aménagements démocratiques, et notamment les champs de compétence. L'individu a la possibilité de surpasser ses congénères, mais dans un contexte de solidarité et d'égalité des chances.
La fiscalité prend d'innombrables formes, au sein desquelles le citoyen cherche à minimiser sa contribution. De nouvelles formes de fiscalité sont nécessaires. La fiscalité est adaptée dans une logique de solidarité.  La fiscalité est revue et simplifiée, et se résume à un impôt sur les richesses détenues.
L'entreprise est le moteur économique de la société, de la production, de l'emploi. L'entreprise sert l'actionnaire. Les entreprises sont soutenues et aidées. Les entreprise disparaissent. Elles sont remplacées par les prestantes, qui servent avant tout l'utilisateur consommateur.